Clifford Nosso a été capturé. Il a été appréhendé ce dimanche 9 février 2025. Ouest, les populations hors de danger

Précédemment, il s’était évadé. Son évasion a eu lieu samedi matin 8 février.https://ledeclicdelinfo.com/2025/01/13/cameroun-les-prelats-accentuent-la-pression/

Cette évasion a causé de l’inquiétude. L’administration pénitentiaire a agi.

Ces éléments de cette administration ont joué un rôle clé. Ils ont localisé Nosso.

Ensuite, ils l’ont interpellé. Ainsi, sa cavale a pris fin. Immédiatement après, il a été reconduit à l’hôpital régional de Bafoussam.

Cette reconduction vise à lui prodiguer des soins. Son état de santé le nécessitait.

Les faits de son évasion

De plus, les circonstances de son évasion justifiaient cette mesure. Par ailleurs, le gouverneur a réagi.

Du reste, Augustin Awa Fonka, gouverneur de l’Ouest, a communiqué. Dans son communiqué, il appelle au calme.https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/rabies#:~:text=Il%20existe%20deux%20formes%20de,quelques%20jours%20par%20arr%C3%AAt%20cardiorespiratoire.

Il exhorte les habitants à vaquer à leurs occupations. Donc, il les invite à reprendre une vie normale.

En rappel, l’homme – chien, s’est évadé le samedi 08 février 2025. Il était interné depuis mi-janvier, à l’hôpital régional de Bafoussam.

Âgé de 23 ans, alors atteint de rage, le jeune homme d’expression anglaise, était sous soins appropriés.

Aussi, son évasion a été signalé tôt dans la journée de samedi par le gouverneur de la région.

C’était à travers un communiqué de presse signé.

Sérénité retrouvée

Pour l’heure, le calme est revenu. Augustin Awa Fonka, invite ses populations, à vaquer sereinement à leurs occupations respectives.

En attendant, la population est soulagée. Clifford Nosso est désormais entre les mains de la justice. Il devra répondre de ses actes.

La rage

Selon l’organisation mondiale de la santé (OMS) la rage est une maladie, une infection virale grave, se transmet via certains mammifères.

Cette maladie s’avère presque toujours fatale dès l’apparition des symptômes.

Chaque année, la rage cause des dizaines de milliers de décès, principalement en Afrique et en Asie, où le chien demeure le principal vecteur de transmission.

En Europe, les chauves-souris peuvent également transmettre la rage.

Ainsi, toute exposition à risque avec ces animaux nécessite une consultation médicale.

La vaccination précoce après exposition à un animal infecté prévient efficacement la rage.

Cependant, une fois les symptômes déclarés, la maladie devient presque toujours mortelle.

En 2023, en France, 3 016 personnes ont reçu un traitement préventif après une exposition à risque, notamment des voyageurs.