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Le Declic de l'info


L’Aérodrome de Koutaba reprend du service 36 ans plutard. L’histoire s’est écrite ce dimanche 25 mai 2025, à l’aérodrome de Koutaba, département du Noun.

Cette reprise représente une étape cruciale pour le département du Noun et toute la région. Elle résulte des efforts combinés de plusieurs acteurs clés.


Nji Njoya Zakariaou, Ministre Délégué auprès du Ministre des Transports, a joué un rôle déterminant dans cette réalisation. Sa vision et son leadership ont permis de débloquer cette situation complexe, rendant possible la concrétisation de ce projet.

Le Dorecteur Général Adjoint de Camair-Co, Alexandre FOCHIVE, a apporté son expertise technique et logistique essentielle à cette réouverture. L’implication de Camair-Co assure la pérennité des opérations et la fluidité des futures liaisons aériennes.

Armée et nation en harmonie Manifeste à Mbouda

Cette prouesse a également bénéficié de l’impulsion majeure de Nji Fifen Soulé, Président Directeur Général de CAMOCO. Il a œuvré sans relâche pour la réhabilitation de l’aérodrome. Il a également initié le tout premier vol.

Premier vol inaugural 36 ans plutard

200 pèlerins de la Fondation Fifen Soule (FOFIS) se sont envolés directement de Koutaba pour La Mecque, via une escale à Douala. Cet événement a rempli de fierté et de joie les populations du Noun.

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Ces fils Bamoun, soutenus activement par le Roi Nabil Mbombo Njoya, ont prouvé la force de la synergie locale. Leur action s’inscrit dans la vision du Président PAUL BIYA de désenclaver les régions et de stimuler le développement.
Désormais, les trajets entre Koutaba et Yaoundé ou Douala prendront moins d’une heure.

Cela ouvre des perspectives considérables pour le commerce et le développement économique du Noun.

Cette réouverture ne marque pas seulement la fin d’une longue attente. Elle symbolise également l’engagement pour l’amélioration de la vie des citoyens.

Le ciel de Koutaba, silencieux pendant des décennies, résonnera désormais du bruit des décollages et des atterrissages, signe de progrès.

Des familles vivant le départ des pèlerins

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